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Me réapproprier (un peu) mon smartphone

25 octobre 2022 1 commentaire

Je l’ai déjà dit, je souhaite que mon smartphone et mes données m’appartiennent réellement.

Après tout, si j’ai donné de l’argent pour obtenir un objet, je devrais avoir le droit d’en faire ce que je veux, dans les limites de la légalité évidemment.

Pour éliminer dès ici le trivial, je ne recherche pas l’anonymat. De toute manière un smartphone utilise une carte SIM. Dans ces conditions, espérer rester icognito est une illusion.

Autre trivialité : je n’envisage même pas l’option de la marque à la pomme. Pas la peine d’en discuter ; point et barre.

J’ai déjà utilisé par le passé une version alternative d’Android, LineageOS pour la citer, avec un mini gapps, histoire de ne pas emblaver la mémoire avec des applis que je n’utilisais pas.

Sans les gapps, les services Android (je simplifie) ne sont pas disponibles. Exit donc youtube, le playstore, et une bonne partie des applications courantes, mais des alternatives sont disponibles.

Mes souhaits

Cette fois-ci, je n’utiliserai pas les gapps, même en version mini. Ma priorité n’est pas d’utiliser les applications habituelles. Mes souhaits sont les suivants :

  • Être en mesure de choisir le système que j’utilise
  • Stockage chiffré
  • Pas de partage par défaut de mes données
  • Pas d’utilisation des services Google, Facebook, Twitter, etc.
  • Empêcher le système de lancer des applications « parasites »
  • J’en oublie certainement

Changer de système ?

J’en ai déjà discuté, intervenir sur la version constructeur de mon smartphone ne me donne pas un contrôle total sur les applications utilisées. Par exemple, les applications constructeur (store, assistant vocal, etc) sont lancées à chaque redémarrage du smartphone. Je peux bien sûr les stopper manuellement, mais l’opération sera à mener après chaque redémarrage.

Le plus direct serait d’installer une autre version d’Android comme CalyxOS, GraphenOS, LineageOS ou d’autres moins connues. La mise en œuvre n’est généralement pas très compliquée, et même entièrement documentée.

Cependant, certaines de ces versions alternatives ne fonctionnent pas sur mon smartphone, d’autres ne fonctionnent que sur la gamme d’un seul constructeur. D’autres encore ne sont pas forcément totalement stables sur mon smartphone.

Benner les gapps ?

Si je veux me passer des gapps, je dois en revanche pouvoir utiliser l’application de ma banque pour valider mes paiements (quelques dons, la P.A.), parfois même pour simplement me connecter et récupérer mes relevés de comptes. Le problème ici est que cette application a besoin des services Android pour fonctionner… Argh !

Et donc ?

Je vais devoir trouver un compromis.

Voilà pour le système.

Pour ce qui est des applications, dans l’idéal du logiciel libre, je suis confiant. Je devrais pourvoir trouver mon bonheur dans les app stores F-Droid et Aurora.

On se pose, on prend son temps, on réfléchit…

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Une petite capsule temporelle numérique

10 novembre 2020 Laisser un commentaire

Rien de volontaire, cette petite capsule temporelle a été redécouverte par accident.

De quoi s’agit-il ?

Point de boîte ni de cache protégée et occulte. Il s’agit ici de mon antique smartphone N900. Eh oui, il vit encore le bougre ! C’est plus un ordinateur de poche sous Linux qui peut téléphoner, mais je me suis bien amusé. Le clavier est trop petit pour mes mimines, mais un téléphone qu’on peut scripter en shell unix, j’en ai usé et abusé.

L’écran de trois pouces et demi est vite devenu trop petit et illisible pour moi, et j’ai fini par le remplacer par un Note, premier du nom, pour une simple raison de vue un peu déficiente.

J’ai utilisé le note des années durant. Aucune mise à jour de son système n’étant disponible, j’ai vite remplacé le système officiel par Cyanogenmod, puis j’ai récupéré un Note 4. Le Note a été « hérité » par un de mes frères, et mis à jour vers Lineageos.

Le Note 4 a soufflé sa chandelle il y a quelques semaines, et il m’a fallu lui trouver un remplaçant.

N900, le retour

Mon N900 a tenu l’intérim et j’y ai redécouvert quelques petites choses. C’est une espèce de capsule temporelle numérique.

Nokia N900-2

Mes comptes et les applis FB et TW tout d’abord, avec quelques échanges conservés je ne sais comment. Vu le peu de place que cela occupe, j’ai conservé et je conserverai encore tout cela.

Musique !

Côté divertissement, quelques jeux, comme un mahjong, mais surtout ma playlist d’alors. Le N900 dispose de trente deux giga octets d’espace de stockage ; il y a de quoi en écouter, de la musique !

Le N900 dispose également d’un émetteur FM très pratique en voiture, par exemple.

J’ai conservé cette playlist depuis, et l’ai enrichie au fil de mes découvertes et de l’évolution de mes goûts musicaux.

Photographie

J’ai commencé à prendre régulièrement des photos avec ce smartphone. Son optique Zeiss permettait de beaux clichés, même pour un amateur à peine dégrossi comme moi. Une application permettait même de créer des panoramas très corrects à trois cent soixante degrés.

Nokia N900-6

J’ai toujours ces photographies quelque-part sur mon disque dur.

Calculatrice

Je n’aime pas trop les calculatrices proposées en standard sur les ordinateurs et le smartphones. Il me faut du RPN, et j’ai toujours installé dès que c’était possible, un émulateur de calculatrice HP, en général Free42.

Xterm, USB, dbus

Et oui, un téléphone avec un terminal Unix ! Le N900 tourne sous Maemo, une distribution Linux héritée du N800. Imaginez un peu mettre votre smartphone à jour à l’aide d’une commande  » apt-get update ; apt-get upgrade » !

N900 xterm

La taille du clavier physique ne facilite pas les manipulations, et le clavier virtuel est à peine praticable. Qu’importe, car connecté par un câble USB, le téléphone devient contrôlable depuis un ordinateur de bureau ou un laptop. Quelques commandes dbus permettent d’envoyer des SMS, de lancer un appel téléphonique, et de faire presque tout ce qu’on pourrait faire sur un ordinateur classique.

La présence d’un vrai Linux permet par exemple de créer un script qui créera des time-lapses en prenant des photographies à intervalle régulier.

Téléphone interimaire, donc

Ça a été sympa de retrouver cet environnement. Nokia et Intel puis Microsoft se sont chargés de l’enterrer. Intel a fait du Intel, et Nokia a vendu du Windows Phone. On ne refait pas l’histoire.

Maemo, le système du N900 a eu quelques mises à jour, que j’ai installées comme il se doit par une ligne de commande. Comme on dit, unixien un jour…

Le bidule est maintenant aussi à jour qu’il peut être, mais il n’en est pas plus utilisable comme smartphone. La partie téléphone et SMS est pleinement fonctionnelle ; pourtant, tout 3g qu’il est, il m’a été impossible de le connecter aux internets autrement qu’en Wifi, et encore, j’ai dû tricher en utilisant un vieux routeur Wifi d’époque.

Fin de l’épisode

Je me suis depuis équipé d’un nouveau smartphone assez rapide et moderne sans être dernier cri. Le N900 a rejoint son emplacement de stockage, où je le recharge régulièrement, au cas où.

Le N900 m’a permis de rester joignable quelques jours au cours desquels j’ai pu le redécouvrir et parcourir une partie de mon histoire numérique – dont environ trois cent SMS tout de même. Une vraie petite capsule temporelle numérique…

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Cure d’amaigrissement pour mon smartphone.


J’ai changé de smartphone il y a plus ou moins deux ans. Mon vénérable Note, premier modèle est maintenant entre les mains d’un de mes frangins, après avoir reçu sa n-ième batterie et avoir été mis à jour vers LineageOS.

J’utilise depuis un Note 4. Nouvelle batterie, remise à zéro d’usine, flashage de la version officielle du constructeur, et mise à jour. Depuis, il tourne presque comme une horloge. Le presque tient à quelques petits coups d’humeur de temps en temps, mais rien de rédhibitoire.

Après ces deux années d’utilisation quotidienne, il est temps de faire un peu de ménage, et de procéder à quelques ajustements.

En préambule, un petit retour en arrière

Je n’en suis pas à mon coup d’essai dans le nettoyage et l’allégement de système. C’est un exercice très intéressant et ludique, toutefois moins facile avec les systèmes modernes.

J’ai possédé un Macintosh 512Ke acheté d’occasion, il y a une vingtaine d’années. Le bestiau n’avait pas de disque dur, et n’était doté que d’un seul méga octet de RAM et de deux lecteurs de disquettes. L’utilisation de principes analogues à ceux décrits plus loin permettaient dès le démarrage terminé, de disposer du système, des deux applications principales, Mac Write et un petit tableur dont j’ai oublié le nom, plus un éditeur de notes en « Desk Accessory » – DA pour les intimes. Le second lecteur de disquettes restait totalement libre pour y stocker mes documents.

Mes usages du smartphone

Mon téléphone me sert essentiellement pour

  • Téléphoner, envoyer et lire des SMS. Classique.
  • Lire les nouveaux articles sur les blogs que je suis.
  • Prendre des photographies. Actuellement mon téléphone en stocke plus d’un millier.
  • Écouter de la musique.
  • Récupérer et écouter des podcasts.
  • Me réveiller le matin, si je loupe le chant du coq. Les coqs se font rares…
  • Lire mes fils d’actualité sur Mastodon et Diaspora.
  • Faire quelques calculs avec l’application Free-42. RPN rules !
  • Regarder quelques (sic!) vlogs sur YT lorsque c’est nécessaire/possible/intéressant.

Quelques outils me sont nécessaires, essentiellement pour procéder à des sauvegardes.

Nettoyage des applications inutilisées

L’espace de stockage est suffisant sur le Note-4, mais ce n’est pas une raison d’en abuser. Au fil du temps j’ai installé des applications, quelques utilitaires, deux ou trois jeux.

Je ne joue que très rarement. Un bon bouquin ou un peu de codage sont bien plus utiles pour mon ordinateur biologique. Exit donc les jeux.

Les applications de réseaux sociaux habituels, FB, TW, G+, etc ne peuvent pas être désinstallés, mais leurs mises à jour désormais inutiles dans mon cas le peuvent. Hop, quelques dizaines/centaines (je n’ai pas mesuré) de MO sont libérés. Je les ai par ailleurs désactivés dans les paramètres du téléphone.

Exit également les Speed-Test, émulateurs, éditeurs de mémo, dictionnaires, claviers virtuels et autres items apparentés.

Une bonne chose de faite !

Les services superfétatoires

Par mesure d’économie de batterie, de bande passante, et de forfait – encore que mon forfait actuel est plus que suffisant – je désactive systématiquement tous les services inutilisés :

  • Bluetooth
  • GPS
  • Mise à jours système
  • Mise à jour automatique des applications
  • Multi fenêtre
  • Point d’accès mobile
  • D’autre que j’ai oubliés, faute d’utilisation

Besoin d’une connectivité bluetooth ? J’active lorsque c’est nécessaire et désactive sitôt après. Wifi, Données mobiles, GPS ? Idem.

En passant, j’utilise le même principe pour contrôler ma consommation d’électricité domestique : seuls le réfrigérateur et la chaudière restent allumés – branchés – en permanence. Même la box internet y passe.

L’écran d’accueil

De quatre, je suis passé à un écran d’accueil qui regroupe sous l’horloge ,qui est l’unique widget que j’utilise, les applications les plus utilisées.

Dans le lanceur d’application – j’utilise Nova, dont j’ai acheté une licence – les applications inutiles ou inutilisées sont progressivement regroupées dans un unique dossier/tiroir/whatever.

Le dock

Le dock regroupe mon top-four des applications que j’utilise :

  • Free-42 : émulation d’une calculatrice HP 41/HP 42.
  • Un dossier contenant le répertoire, l’application de téléphonie, les messages
  • L’horloge/alarme (mon réveil matin)
  • Un dossier contenant les applications de photographie de « galerie photo. »

Au centre l’accès à la liste complète des applications installées.

Un petit plus, en passant

Mon téléphone ne contient pas de données « critiques », type numéro de carte bleues, mais je préférerais qu’en cas de perte ou de vol, personne ne puisse y récupérer quoi que ce soit. Un téléphone, c’est comme une brosse à dents : c’est personnel.

J’ai donc activé le chiffrage  du téléphone et de la carte SD. Ça  monopolise le téléphone le temps de tout chiffrer, mais la perte de performances en utilisation courante est imperceptible.

Ce qu’il reste

Au travail, j’utilise mon téléphone de bureau, bien pratique avec son casque « enveloppant ». Pour le reste, je téléphone très peu. Par contre, je ne me limite pas côté SMS, même si je tente de rester concis.

Ce qu’il reste, donc, c’est que j’aurais plus besoin d’un téléphone un peu moins smart, qui serve pour les  conversations vocales, les SMS, la musique et la photographie, et qui fournisse un accès internet mobile par Wifi lorsque c’est nécessaire. La partie internet – Web, mail, etc – serait utilisée depuis une tablette, ou un Netbook. Ça ferait deux appareils au lieu d’un seul, mais deux appareils optimisés pour leurs usages respectifs.

Sur ce point, je ne suis clairement pas dans l’air du temps : du PDA totalement déconnecté des années 1990/2000 au smartphone/phablet tout-en-un et ultra-connecté d’aujourd’hui, je pense que nous sommes passés d’un extrême à l’autre.

Ménage terminé …

Cette petite digression terminée, mon téléphone est un peu allégé. L’activation des données mobiles ou du Wifi ne provoquent plus de délais dus par exemple à la détection des mises à jour, et les applications qui me servent réellement sont plus rapides à retrouver dans mon unique page d’accueil.

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Odin, Heimdal, Heimdal, Odin … ?

19 juillet 2016 3 commentaires

Suite à mon problème de Samsung Note saturé, j’ai du me rendre à l’évidence : il va bien falloir étendre cette partition « système ».

Premier point : quelle taille choisir ? Ajouter un ou deux giga-bytes serait risquer de se retrouver dans la même situation à l’issue d’un nouveau changement de format de binaires imposé. Soyons extrême pour une fois, et faisons moitié-moitié. Huit Gigots pour le système, huit gigots pour les données. Mes photos, vidéos, textes et autres seront stockés sur ma carte SD.

Second point : les outils. Le logiciel Odin est très réputé pour installer des versions alternatives d’Android et repartitionner l’espace de stockage du téléphone, mais il a le tort de n’exister que sous Windows. Or, Windows, chez-moi, connais pas. Le système au pinguoin me suffit et j’ai horreur des courants d’air. J’ai donc voulu tenter l’aternative sous Linux, à savoir Heimdall.

Sur ce coup là, j’ai été un peu fainéant : les firmware android utilisables sous Odin tombent directement dans la main. Pour Heimdall, et bien j’ai lâché l’affaire après quelques heures. Exit Heimdall. « Bonjour Odin, tout va ? Tu as fait bon voyage ? Bon, bosse maintenant ! » Réponse d’Odin au pingouin aviné « Mais heu, c’est pas Windows, ce truc ! » Odin n’aime pas Wine. J’aurais dû me douter.

Comme je n’ai pas trop le choix ni le temps, j’ai fini par installer Odin sur un PC d’emprunt sous Windows, et j’ai suivi le mode d’emploi, à savoir :

  1. Comprendre et accepter que l’opération entière pourrait transformer le téléphone en un très beau presse papier, et que ni les auteurs des logiciels ou documents, et encore moins l’auteur de cette page ne peuvent être tenus responsables en cas de problème.
  2. Sauvegarder les données du téléphone : photos,mails, vidéos, etc
  3. Repartitionner et installer le Stock ROM Jelly Bean pour Samsung, comme indiqué par exemple ici.
  4. Attendre que ça se passe
  5. Installer un custom recovery, comme indiqué par exemple ici.
  6. Installer Cyanogenmod. Les « howto » ne manquent pas, bonne lecture (et une bonne dose d’anglais, désolé). J’ai choisi la méthode la plus simple, à savoir copier l’archive sur la carte SD du téléphone et l’installer depuis le recovery
  7. Je n’ai pas eu à le faire, mais il faudra peut-être installer les applications google, ou gapps. Les howto indiquent lamarche à suivre en même temps que le reste.

Après plusieurs essais (heureusement, Odin permet de repartir de zéro), tout s’est finalement bien passé, sauf le point 6. Archive foireuse donc installation refusée.

Ça n’a pas l’air très glorieux, mais je me suis retrouvé avec un Jelly Bean by Samsung avec un custom recovery et un espace système assez grand pour y installer tout l’Android Market (ou quelque soit le nom qu’il porte à ce jour) ou presque. J’ai décidé de le laisser quelques jours dans cet état, le temps de redécouvrir Jelly Bean avec la surcouche constructeur …

… comprendre :  » Il est tard, j’ai les yeux qui se croisent, mon téléphone fonctionne, et je-veux-mon-lit !  »

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Samsung Note GT-N7000 saturé

7 juin 2016 3 commentaires

J’ai acheté mon Samsung Note alors que le Note 2 était annoncé depuis plusieurs semaines, en remplacement de mon bon vieux Linux-phone N900. Ah, le xterm, vi, grep et consorts, quel bonheur, mais avec une batterie atone… Bref ! Comme d’habitude, j’ai profité de mes points « fidélité » (depuis, j’ai changé d’opérateur), d’une offre de remboursement et d’une baisse de prix pour éviter la ruine.

Hormis quelques problèmes après mise à jour du système – la fameuse batterie qui se vide à la vitesse de la lumière en transformant le téléphone en chauffage d’appoint – et une petite panne matérielle, ce téléphone m’a bien servi.

Las, Samsung n’a même pas daigné nous gratifier d’une mise jour vers Kit-kat. Soit disant parce que le matériel ne suivrait pas. Mensonge, ignorance ? A votre avis ?

Au bilan, pour ceux qui suivent, yuko pour le SAV et shui pour l’absence de suivi des produits dans le temps.

Tant pis. Quelques mois, allez, de nombreux mois (plus que dix ou douze, au moins) et deux changements de batterie plus tard, Cyanogenmod 11 nightly était installée, presque sans encombre. Pourquoi la 11 et pas la 10, sensée être plus stable? En deux mots, parce que. Pourquoi nightly ? Il m’arrive souvent – au moins une fois ou deux par jour – de fermer la mauvaise fenêtre, ou de cliquer sur le mauvais bouton.

Au final, la version nightly, avec ses mises à jour très rapprochées, m’a permis de m’habituer à flasher le bidule sans trembler des rotules, et comme le Note avait retrouvé un peu de fluidité, ça m’allait très bien.

Pourtant, mise à jour après mise à jour, et même si le système est resté stable, je me suis heurté à plusieurs écueils. Le plus gênant est que, malgré l’absence de la foultitude d’applications made in Samsung, la place disponible pour les applications s’est réduite comme peau de chagrin, si bien que les applications ne pouvaient plus être mises a jour. La faute à la partition système de deux giga-bytes, trop étriquée pour le nouveau format des binaires des applications. Cyanogenmod fonctionne très bien, mais il faut lui en donner les moyens. D’un autre côté, le système devrait savoir gérer dynamiquement les espaces de stockage. Psion le faisait très bien sur ses Series 3 et 5

En attendant de trouver une solution à mon problème de place (j’y reviendrai plus tard), j’ai finalement dû me résoudre a diminuer la voilure : exit les applications inutiles donc indispensables, exit Nova Launcher (dommage), exit presque tout, en fait, hormis les applications vraiment indispensables (WordPress, Free42, Zdbox et quelques autres).

La solution pratique ? Repartitionner à l’aide de Heimdal sous Linux, ou Odin sous Windows, mais là, mes rotules se sont à nouveau manifestées, à tort bien sur.

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Nokia N900, Samsung Note: comparatif express

27 avril 2013 2 commentaires

Mon Samsung Note est parti au SAV. Un problème avec le port USB lui fait croire qu’il est toujours en charge. Ca arrive. J’ai du coup ressorti le Nokia N900 qui me servait principalement d’appareil photo scriptable (merci l’ouverture de Maemo) et de baladeur audio.

Le N900 est plus lent, son écran tactile fonctionne … disons qu’il pourrait aller mieux mais qu’il fonctionne. Surprise en le connectant sur Internet: des mises à jour, dont une concernant le système, sont disponibles. Finalement, à part l’écran tactile un peu fainéant et les automatismes à retrouver, le N900 reste un bon cheval: capricieux mais se laissant facilement apprivoiser.

Les « plus » du N900:

  • Le système (OS) suffisamment ouvert, ie. rootable (sans perte de garantie) et scriptable (shell unix, dbus, python, etc) et ce depuis son lancement
  • La disponibilité d’un xterm (unixien je suis…)
  • La taille raisonnable

Les « plus » du Note:

  • La taille XL de l’écran
  • La très grande intégration des applications
  • La « Radio », plus que correcte, avec une très bonne réception

Je ne parlerai pas des « moins » de chacun.

Le téléphone/tablette idéal serait un mix des deux : un Note bidouillable (rootable sans faire sauter la garantie, réellement ouvert et scriptable) et avec des mises à jour régulières (j’attends toujours Jelly Bean sur le Note).

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Unclutter your smartphone

1 août 2010 Laisser un commentaire

Nearly everyone has a smartphone. Many different brands, two main OSes.
Most are very happy with it, but one of us  (no name please) is displeased with the way it handles its applications, and where they are stored. Hid phone is one of the latest (maybe the latest at this time) Android based smartphone.
After having installed many applications he found that his main memory was nearly filled with apps and files. Now he wants to get rid of it and buy the ap<biip>e i<biiip>e model. He is great at buy new phone models and new apps and spending a whole lot of money onto it (just my opinion anyway).

I started working with computers in 1987. Those were the days of the 8086 based PC-XT with a for the time wonderful 512 kb of main memory. If you could not afford a 20 of 40 Mb hard disk then you had to cope with one or two 360 kb floppy drives. More « advanced » PC-AT were out of reach for a student. Later I got a 128k Mac, with its err… 128kb of memory and a single floppy drive. Later again, and for a few years my main machine has been a Psion Series 5 palmtop with 8 Mb of memory, which were used for running the multitasking system, the applications and store the application data.
All these machine had something in common: their quite terse memory and disk resources. Not many people could cope with this nowadays but mind you we worked very well with those machines. How come?
First, there was no internet, or it was just the beginning outside the university, and multimedia was for high end computers and workstations.
Second, applications were very expensive, and free software were not widespread.
Last, but not least, we applied some basic mecanisms to cope with sparse resources. Those are still applied nowadays – at least I still do apply them; the fifth one appeared with web applications.

  • one and only one  application for a function
  • any application not used at least twice a day is to be discarded
  • any application where most functions are not used must be discarded
  • no games, or at most one or two tiny games
  • for web intensive applications prefer the browser based version to its native version (only apply sinc a few years)
  • keep only small, but efficient apps
  • one acronym : KISS ( for « Keep It Stupid Simple » )

My actual phone main memory and storage are not cluttered, even if I have tried many more applications than I should have. Simply applying the above principles keep my phone, my netbook and myself away from clutter.

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Twitter sur un nokia n900

21 juillet 2010 Laisser un commentaire

Le Nokia N900 n’est pas un smartphone répandu. Normal vu la concurrence d’Apple mais surtout du système Android. Le HTC Desire, par exemple est une machine exceptionnelle par son esthétique et sa facilité d’usage

C’est dommage, vu les caractéristiques du N900, tant physiques (gps, accéléromètre, microprocesseur puissant, quantité de mémoire, etc) que logicielles (c’est un vrai Linux de type Debian).

En tant que machine de blogueur le N900 est presque la panacée, vu la qualité de l’APN intégré, le clavier largement utilisable et l’intégration simple des principales messageries instantanées (twitter, MSN, Yahoo Messenger, Facebook, etc) dans une seule application (celle qui permet d’échanger des SMS).

Dommage que le mode « USB host » ne soit pas supporté, cela aurait permis l’utilisation occasionnelle d’un clavier PC. Peut-être avec le bluetooh…

Pour Twitter, plusieurs possibilités :

  • l’outil « Conversation » natif (ajouté du plugin twitter, installé en quelques clicks)
  • le site web officiel twitter.com – le plus complet pour une utilisation de base
  • le site twimply.com – interface web basique mais efficace
  • Witter – logiciel dédié, très pratique mais assez touffu
  • Tweego – plus léger, que witter, mais à mon sens mieux présenté.

En débutant avec twitter, j’ai hésité entre twitter.com et witter: mon compte a été créé sur le site twitter.com, alors que mes premiers tweets ont été faits sous witter et tweego, histoire de me faire une idée.

Je n’ai qu’une utilisation simpliste de twitter, pour le moment principalement comme point d’entrée vers mes deux blogs.

Je n’ai pas encore abordé la gestion des followers (aucun pour le moment), ni l’utilisation des applications ‘tierces’ s’appuyant sur les API Twitter, mais bon, « c’est en forgeant qu’on devient forgeron ».

Un « détail important »: ne pas oublier de configurer l’application « Courrier » du n900 pour pointer sur le compte mail relié au compte Twitter. Ca facilitera la vie pour plus tard.

Mes prochaines étapes dans l’utilisation nomade d’internet sur le n900 seront de sélectionner et configurer un outil pour gérer les blogs, ainsi qu’une application courrier qui permette de travailler en mode déconnecté (l’application native de Maemo sur le 900 travaille uniquement en ligne).

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