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Réfection de mon NAS

4 avril 2023 Laisser un commentaire

Plus que d’un vrai NAS, j’ai besoin d’une machine capable de stocker et sauvegarder mes données – Photographies, textes, documents, etc — de manière fiable.

Historique

Historiquement, j’ai commencé — il y a fort longtemps — par des sauvegardes sur disquettes, puis sur CD réinscriptibles ou non, enfin sur un disque dur et enfin des clefs USB. C’est assez peu pratique, mais ça faisait le travail. Des distributions Linux orientées NAS me faisaient de l’œil, mais ce n’était jamais le moment de sauter le pas.

Yunohost

J’ai tout de même fini par monter ce que j’appellerai mon premier NAS . Un PC de récupération, dual core de l’époque doté de quatre Go de Mémoire et d’un disque système de 250 Go augmenté d’un disque de 1To pour les données. Je voulais tester Yunohost, une distribution Linux permettant d’installer et utiliser des applications orientées « cloud personnel », principalement Gitlab (gestion de code source) et Nextcloud (agenda, notes, photos).

Yunohost fonctionne assez bien, avec des applications bien packagées et installables facilement. Avec une solution de sauvegarde à façon, le système était assez fiable.

Le gros défaut de Yunohost — pour mes usages — est d’être prévu pour être accessible depuis Internet, ce que je ne souhaite pas. J’ai également connu une grosse déception : suite à la dernière mise à jour, il m’a été impossible de faire fonctionner Gitea. J’ai eu beau désinstaller et réinstaller cette application, je suis resté le bec dans l’eau.

Puis il s’est produit …

Un accident

Cela arrive, le disque dur contenant mes données est tombé en panne, comme un préquel à la mort du disque de mon PC de bureau.

Une restauration des données sur le disque système – suffisant mais un peu étriqué – m’aurait laissé à la merci d’un éventuel nouveau problème de disque.

Nouvelle machine et réinstallation à blanc

J’ai acquis pour le prix très avantageux de zéro euros un PC au format slim destiné au recyclage. Mémoire augmenté après coup à huit Go, processeur quad core, format compact, ventilation très silencieuse, bref, une machine idéale pour un NAS tout en assurant l’avenir. Exit le disque de la bestiole, remplacé par un SSD pour le système, et deux disques à plateaux de 500Go pour les données. La carte mère ne disposant que de trois ports Sata, j’ai dû débrancher le lecteur-graveur de DVD.

Pour le système d’exploitation, j’ai choisi comme à mon habitude une distribution Debian de base augmentée de quelques utilitaires usuels comme htop, ksh, etc

Choix technique

Je voulais expérimenter de nouvelles applications, mais sans avoir à gérer des dépendances potentiellement conflictuelles sur MariaDb, Php, etc.

La solution s’appelle Docker, avec un conteneur pour chaque application. Sur une seule machine, pas besoin de Swarm ou de Kubernetes,

Les données sont stockées sur l’un ou l’autre des deux disques de données. Docker stocke les images de ses conteneurs là où il veut bien sur le disque système..

Portainer me permet au besoin d’arrêter ou relancer les conteneurs, et au pire, la ligne de commande devrait permettre de gérer les cas limites.

Fiabilité

Les deux disques de données sont une solution temporaire, le temps d’acquérir deux disques de un ou deux To et de les monter en miroir.

Tel quel, le système est stable et fiable. Passons aux applications.

Synchronisation de répertoires : Syncthing

Je m’en sers principalement pour copier rapidement certaines données de mon smartphone à l’aide de l’application éponyme.

Gestion de versions : Gitea

Un test de Gitlab ne m’a pas convaincu. Son utilisation est connue, simple à appréhender, presque intuitive, mais Gitlab est assez lent sur mon NAS. Trop lent, surtout comparé à Gitea qui fonctionnait comme un charme sur un simple dual core avec quatre GO de RAM. Exit donc Gitlab, rebonjour Gitea.

Gitea propose moins de fonctionnalités que Gitlab, mais il me suffit amplement… et il fonctionne sur ma « nouvelle » machine, alors que j’étais bloqué sur mon installation Yunohost.

NextCloud

Nextcloud permet à l’instar de Yunohost d’installer des applications : suite bureautique, prise de notes, agenda, calendrier, mails, photos, liste de tâches, kanban, messagerie instantanée, etc.

La sauvegarde de mon smartphone et le synchronisation de mon PC de bureau et de mon Netbook s’opèrent via une application Android et une application Linux

Sauvegardes

Les sauvegardes, c’est la vie. Cf. une nouvelle fois mon expérience récente. Docker ne propose pas en soi de solution de sauvegarde des containers qui me convienne. Les volumes Docker sont dirigés vers des répertoires physiques sur mes disques de données ; l’archivage de ces répertoires devrait suffire.

J’effectue des sauvegardes périodiques via des procédures manuelles. Ce n’est pas optimal, mais en attendant mieux…

Nextcloud est un peu particulier pour les sauvegardes. S’il propose une application de sauvegarde globale et automatisée, il ne permet pas d’effectuer une sauvegarde application par application. Cela viendra peut-être.

Bilan provisioire

J’utilise cette installation depuis plusieurs semaines/mois — Comme le temps file !

Nextcloud fonctionne très bien, comme on pouvait s’y attendre. Seule l’application « Photos » est parfois un peu lente lors du premier affichage d’une photographie, mais rien de rédhibitoire.

Point très important pour moi, j’ai retrouvé un serveur Git utilisable tant pour mes codes sources que pour mes écrits.

Côté utilisation mémoire, le démarrage de Nextcloud se fait sentir après le démarrage du NAS, mais ensuite, en dehors des synchronisations, l’occupation mémoire plafonne à moins de deux Go. Du coup, j’ai installé un conteneur JupyterLab, histoire de m’amuser un peu.

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Un bullet-journal ? Nope ! Un agenda.

10 janvier 2023 Laisser un commentaire

Nouvelle année, nouvel agenda ? Numérique ou papier ? Un peu des deux ? Côté professionnel, tout se fait en numérique, mais côté personnel, je préfère le papier. C’est fait avec du cadavre d’arbres morts, certes, mais on peut trouver du papier à base de fibres recyclées.

Je trouve les agendas du commerce trop chers et trop limités ou trop encombrés pour ce dont j’ai besoin. J’ai testé plusieurs formats depuis mes premiers agendas d’étudiant, de l’agenda de poche fourni « gracieusement » par une enseigne de librairies, trop léger côté fonctionnalités au Quo Vadis qui propose à l’inverse un peu trop de choses. Soit trop simpliste, soit trop fournis.

Vers 2005 ou six, j’ai oublié, j’ai découvert un site qui proposait des modèles de pages permettant de fabriquer son propre agenda : planning journalier, hebdomadaire, mensuel, annuaire, notes, de quoi satisfaire presque tout le monde. Je trouve deux inconvénients à cette méthode : il faut imprimer toutes ces pages si possible recto-verso, et les relier. C’est peu cher payé pour une méthode aussi souple d’utilisation. Pourtant, je ne l’ai que très peu utilisée.

Depuis quelques années, la mode côté DIY est au Bullet Journal.

Kesako Bullet journal ?

Ça me fait rire quand j’entends « belette journal », mais passons.

Le Bullet Journal est d’abord une méthode d’organisation personnelle (je sais, je viens d’écrire presque mot pour mot la première ligne de la page Wikipedia, mais ce n’était pas voulu). Cette méthode s’appuie sur des listes, des calendriers, des rappels, et tutti quanti conçus et agencés à façon.

Le « BuJo », comme l’appellent certains, apporte de par sa nature et sa philosophie toute la souplesse recherchée par son utilisateur, mais me concernant, cela va trop loin.

Mes besoins

J’ai besoin d’un agenda au format A5, contenant quelques pages utilitaires au début, puis une page par semaine. Point barre.

Ma solution

Ma solution tient dans le carnet « à pas cher » que j’ai déjà évoqué, mais cette fois-ci au format A5. Pour une paire de pièces de monnaie, j’ai un carnet d’environ deux cent pages lignées, de quoi tenir plusieurs années. Vu le prix, j’en ai acheté un petit stock en 2018. En réalité, j’ai choppé les trois qui restaient en rayon.

Les pages « semainier »

Je crée ces pages au fur et à mesure, avec généralement deux ou quatre semaines d’avance.

Une page « semaine » contient de haut en bas

  • Une ligne contenant l’année/semaine suivie des dates du premier et dernier jour de la semaine
  • Un bloc contenant trois lignes par jour du Lundi au Vendredi
  • Un bloc contenant côte à côte samedi et Dimanche
  • Un bloc pour les notes

J’inscris mes rendez-vous en vrac dans la journée concernée, ainsi que mes tâches précédées d’un caractère « @ », plus rapide à tracer qu’un astérisque.

  • Exemple de deux pages de semainier
  • Semainier recyclé avec des citations
  • Semainier, une fois rempli

Les pages utilitaires

  • Echéances et porte-cartes
  • Double page listant anniversaires et événements placés sur un cercle figurant l'année
  • Quelques citations

Et voilà

Un agenda simple mais pas trop, un peu Zen mais sans plus, extensible tant qu’il reste des pages, et ouvert à toutes les expérimentations possibles. Point bonus, il prend peu de place dans mon sac à dos et ne pèse que quelques dizaines de grammes. Que demander de plus ?

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Rénover un calepin fatigué

27 septembre 2022 3 commentaires

Je suis calepinomane. Pas de gros mot là dedans ; ça dit seulement que j’aime bien les calepins. L’un d’eux me sert pour mes brouillons de blog, et pour prendre des notes pendant mes activités nanotesques.

Celui-là a besoin d’un petit coup de frais. Il est taché, l’élastique est un poil détendu, et le passant n’a pas résisté au bic quatre couleurs.

Première étape : nettoyage

L’élastique qui ne l’est plus assez est sauvagement éliminé. Il sera remplacé par un cordon.

L’ancien passant tient à peine ; il subit le même sort, le coup de ciseaux en moins.

Seconde étape : un nouveau passant pour le stylo

Avec ce carnet j’utilise presque exclusivement un stylo Bic quatre couleurs. Le nouveau passant est donc fabriqué sur mesure à partir d’une chute de faux cuir issu des restes d’une antique pochette pour smartphone.

Une mise en place à blanc permet de vérifier que tout se passera bien pendant le collage.

Tout va bien ? Alors collage à la colle vinylique et mise sous presse. Un peu de papier cuisson évite le collage intempestif des dernières pages si la colle décidait de déborder.

Lorsque c’est sec, passons à la…

Troisième étape : le cordon

Rien de pire qu’un calepin qui s’ouvre dans un sac à dos. J’ai décidé de remplacer l’élastique par un cordon tressé en fil à coudre le cuir. Le cordon sera fixé au dos de la couverture, mais la mise en place ne va pas de soi.

L’une des extrémités du cordon est enroulée autour du filetage d’un rayon de vélo (aucun vélo n’a été blessé ni mutilé pendant l’opération).

Le cordon est poussé vers la sortie à l’aide du rayon.

L’extrémité peut alors être fixée sur un morceau de trombone ou une petite tige en bois, ici la queue d’un bâtonnet d’encens.

Il suffit alors d’insérer la tige dans le dos de la couverture, puis de de tirer sur le cordon en chemin inverse jusqu’à la butée.

Étape bonus : un peu de déco

Un petit morceau de cuir est attaché à l’extrémité du cordon. Ce sera plus sympa et plus pratique.

Pour l’esthétique, noir c’est noir, mais ça tâche quand-même. Impossible de nettoyer ; ça m’apprendra à écrire un peu partout … Tant pis, détournons l’attention avec un sticker.

Et voilà. Ça ne casse pas des briques, mais mon carnet a comme retrouvé une seconde jeunesse.

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Adapter un fichier STL à l’aide d’OpenSCAD

15 juin 2021 Laisser un commentaire

Les sites comme Thingiverse sont des mines pour l’impression 3D. On y trouve presque à coup sûr ce qu’on cherche.

Le presque tient à des objets qui pourraient convenir excepté quelques détails. Une fixation à déplacer, une épaisseur trop faible ou trop grande, un espace à combler …

Le Besoin

Un de mes frères modifie des boîtiers de PC. Après une première réalisation pour laquelle j’ai imprimé un support de ventilateur, c’est un second boîtier qui est en cours de modification.

Exit la baie trois pouces et demi, exit certaines fixation inutiles mais gênantes, perçage d’une sortie d’air pour un ventilateur sur la face arrière, et remplacement de la partie basse de la face avant par deux ventilateurs.

Là encore, la solution la plus simple semble être l’impression 3D.

Seulement, si les deux ventilateurs prévus pour l’avant sont au format 120mm, la partie métallique à remplacer sur la face avant nécessite de réaliser un support ad-hoc, car nous n’avons rien trouvé de satisfaisant sur Thingiverse ou ailleurs.

Pour évacuer le trivial, il serait bien entendu possible d’utiliser une feuille d’aluminium ou d’acier de dix ou quinze dixièmes, mais nous n’avons pas l’outillage nécessaire pour un travail propre, et d’ailleurs pas de feuille du tout.

Impression 3D, donc, et modélisation d’une pièce sur mesure en partant du support utilisé dans le premier boîtier.

Adapter un fichier STL …

Les outils de CAO permettent en général d’importer des fichiers STL. Apparemment, Fusion360 le ferait très bien, mais j’ai laissé tomber cette application dont le fonctionnement est plus qu’aléatoire sous Wine. Des dialogues dont le contenu est remplacé par un fond noir, des plantages… et comme je ne possède aucune machine fonctionnant sous Windows, bye-bye Fusion360 …

… A l’aide d’OpenSCAD

J’en suis revenu, comme souvent, à une solution à base d’OpenSCAD. J’en ai à peine égratigné la surface, mais c’est mon go-to lorsque je dois modéliser des objets en vue d’une impression 3D.

Il s’agit pour l’essentiel d’un langage de description d’objets 3D, permettant les opérations géométriques – union, soustraction, intersection, translation, rotation, redimensionnement, … – sur des objets de base – pavés, cylindres, sphères, etc.

Ça ressemble à de la programmation, ce qui peut être rédhibitoire pour certains, mais c’est un outil réellement très pratique.

Fait important pour le cas qui m’occupe ici, OpenSCAD sait importer des fichiers STL, ainsi que d’autres formats.

Définir le besoin

Il s’agit de juxtaposer deux supports de ventilateurs de diamètre 120 mm, épais de trois millimètres, et d’y ajouter de la matière sur les quatre côtés, à concurrence de 13mm en largeur sur 15mm en hauteur. pour une adaptation presque parfaite dans le boîtier.

Le presque tient à quatre découpes nécessaires au passage des clips de la façade avant du boîtier. Ce sera fait à la Drémel avant mise en place définitive.

Conception

Les quinze millimètres ajoutés en hauteur empêchent une impression en une seule pièce sur mon imprimante. Ça déborde .

Rien de bien compliqué au fond. Il suffira d’imprimer deux demi-pièces, de les assembler à la cyano avant de fixer le tout dans le boîtier.

Un petit schéma pour commencer

Plutôt que de simplement couper la pièce en deux horizontalement, et pour augmenter la surface de collage, nous avons opté pour un design asymétrique.

L’objet à modifier

L’objet à modifier est la partie « 4 Gasket » de l’objet « Anycubic Photon Air Vent System« , une création de Peter Eschelbach, sous licence Creative Commons – Attribution – Non-Commercial

Script OpenSCAD

C’est un script écrit sur un coin de bureau. Il n’est ni commenté, ni paramétrable, ni même agréable à lire, mais bon, c’est censé être du one-shot.

import(« ./4_Gasket.stl »);
translate([-60,-65,0]) cube([180, 5,1]);
translate([-60,60,0]) cube( [60,8,1]);
translate([-67,-65,0]) cube([7,133,1]);

Une fois le rendu effectué (touche F6 sous OpenScad), il suffit d’exporter au format STL et de lancer son slicer favori.

Impression

L’impression se fait sans difficulté, en PLA, sur un plateau chauffé à 50°C, et la buse à 210°C. Il s’agit d’être patient et de surveiller de loin.

Première partie en cours d’impression
Une demi-pièce imprimée
Essai à blanc in situ

Au final

Passons sur l’esthétique, le but était ici d’obtenir quelque-chose d’utilisable.

Comme dit plus haut, j’ai oublié lors du design de prévoir le passage des clips de fixation de la façade du boîtier, mais une fois la façade en place, ça ne se verra pas.

Le support en place. .

J’ai enregistré ce « Dual 120 mm Fan plate » sur Thingiverse, sous la même licence Creative Commons – Attribution – Non-Commercial que l’objet d’origine.

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Mon setup pour l’électronique


Côté électronique, J’ai plusieurs montages à effectuer depuis pas mal de temps : ajouter un connecteur pour le reset sur un Raspberry Pi Zero, assembler une carte d’affichage pour le Pi Zéro et doter une carte horloge de connecteurs pour la relier à… la Pi Zéro.

Manque de bol, ma presbytie m’a rattrapé il y a plusieurs mois. Manque de bol puissance deux, mon rendez-vous chez l’ophtalmo a été annulé.

J’en ai eu assez d’attendre.

Un reset pour la Pi Zéro

La famille des Raspberry Pi ne dispose pas de pin où connecter un bouton reset, mais les pads de soudure sont bien présents, et percés. Il suffit d’y connecter deux pins standard. Tant qu’à faire, je comptais bien souder également la double rangée de connecteurs du GPIO.

En principe, c’est assez simple : il suffit de positionner les connecteurs dans leurs emplacement, de retourner la carte et… et bien non. les pins du reset ne tiennent pas en place, évidemment.

En général on maintiendra le tout en place à l’aide d’une espèce de pâte à modeler avant de retourner la carte. Sans cette pâte, et sans scotch, il faut trouver autre-chose.

En haut, une barrette de connecteurs femelles maintient les deux pis à leur place en s’appuyant sur les connecteur mâles de la Pi Zéro.
Une fois le tout retourné, la seconde barrette, permet de caler le tout bien à plat.
Terminé !

La carte d’affichage

Le « Four Letter Phat » permet d’ajouter à un Raspberry Pi modèle deux ou ultérieur un afficheur alphanumérique à quatre caractères

Rien de bien compliqué, mais c’est parti pour plusieurs dizaines de points de soudure.

J’ai soudé la barrette pour les GPIO, mais je pense que j’aurais dû utiliser des barrettes coudées, plus adaptées à mon projet. Ce qui est fait, est fait.

La carte horloge

La carte horloge, et son connecteur coudé

Cette carte à base de DS1307 pour l’horloge temps réel et d’AT24C32 n’a besoin que d’un connecteur, même si deux sont prévus sur la carte. Sept points de soudure seulement pour cette carte.

Le résultat

La presbytie m’a rattrapé, disais-je, alors je triche.

Mon setup

Un bon éclairage et une bonne loupe suffisent à améliorer les choses.

La lumière est fournie par un éclairage à leds alimenté en USB, dont le pied est constitué d’une tour de CD vide.

A gauche, la loupe de huit centimètres de diamètre permet de se « rapprocher » de la cible sans se brûler les moustaches. La loupe de droite permet de vérifier les soudures en détails.

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Petit bricolage du dimanche

14 avril 2020 Laisser un commentaire

Je sais vivre en quasi hermite, ça me pose peu de problèmes, tant que ça ne dure pas trop longtemps. Pour passer le temps de manière un peu plus agréable, vu que mes sorties sont plus que limitées en ce moment (Mars, Avril 2020), j’ai besoin de mon petit confort. Quelques livres – ma PAL commence d’ailleurs à s’impatienter – quelques petites réalisations diverses et variées, un peu de gribouillage, et la musique.

La musique est très importante pour moi. Impossible de passer une journée sans au moins un peu d’écoute musicale, même si Radio-Cerveau est toujours là. Et là, il s’est passé un drame…

Tout est relatif, évidemment. Le câble reliant mon ordinateur à ses haut-parleurs via un petit caisson de basses me posait des problèmes de temps en temps. Faux contact, grésillements, j’en passe. Bon, je me suis pris les pieds dans le câble, qui du coup s’est fâché et s’est mis définitivement en grève.

Remplacement du câble

Une partie du problème de grésillements provenait du petit boîtier de contrôle de volume. Couic! Exit le boîtier, et tant qu’à faire le câble sortant du caisson a prestement été remplacé par un nouveau câble. Hop, fer à souder, un peu d’étain, pince à dénuder, gaine isolante à enfiler de préférence avant soudure (après ça ne passe plus), et l’ordinateur a retrouvé sa voix.

Mission accomplie !

Oui, mais….

Mon antique mini-chaîne – deux fois cent vingt watts, tout de même – prend la poussière depuis pas mal de temps. Elle possède une entrée auxiliaire au format RCA, et justement je disposais d’un câble au format RCA deux voies et d’un câble au format Jack 3.5 deux voies également.

Je n’ai pas pu résister. Clic-clac, couic, étain, fer à souder, gaine thermo et hop, Jack d’un côté, double RCA de l’autre, mon PC a maintenant un véritable porte-voix.

Speaker Wall at Bartique

Je vous fais grâce des photos : pour simple que soient ces deux montage, ça a été un vrai carnage. Un câble jack n’a qu’un seul fil de masse, pour deux à l’évidence côté RCA. Ajuster les longueurs n’a pas été facile, ensuite j’ai oublié d’enfiler l’isolant principal, celui qui devait donner un air honnête à l’objet. Alors on dessoude, on passe la gaine isolante, on ressoude, on teste, et une soudure mal faite lâche sans prévenir. Et ainsi de suite. Faire et refaire, c’est toujours travailler, non ? J’ai pas mal travaillé sur ce coup-là.

Le PC et la mini-chaîne

Vu que le câble est finalement prêt, qu’il ne souffre d’aucun défaut autre qu’esthétique, autant s’en servir, même sans pousser les watts trop loin.

Mise sous tension de la chaîne, branchement du PC sur icelle, Sélection de quelques titres intéressants. Si vous me connaissez un peu, vous savez que je n’écoute que de la musique douce et agréable pour mes délicates esgourdes.

Allez, trois morceaux et après je baisse le son :

Maintenant que ça fonctionne, reste à décrasser et dépoussiérer la mini-chaîne.

Crédits

Photo : Original Vintage Speaker Wall – Licence Creative Commons Attribution-Share Alike 4.0 International

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Mes photos sont dégueu…

4 février 2020 Laisser un commentaire

Un exemple

Une ombre plus que gênante en bas à droite, le flacon d’encre sous exposé, les photographes même amateurs trouveront bien d’autres défauts.

Des solutions ?

Le flash tout d’abord, que je devrais activer au lieu de laisser mon téléphone décider. Le téléphone, à remplacer par un vrai appareil photo, des spots pour éclairer correctement, prendre des cours, suivre des tutoriels…

Un « vrai » appareil photo est trop cher pour mon usage, et mon téléphone est un vrai appareil photo, capable de mise au point assez fine si l’on reste dans son domaine de compétence, et doté d’une résolution largement correcte de seize mégapixels.

Reste l’éclairage. « Il faut deux sources de lumière », m’a-t-on dit. On trouve des spots utilisables à des prix abordables, mais bonjour la logistique. Ma maison est toute petite, et je ne peux pas tous déplacer pour deux spots le temps de quelques photos.

Une tente photo

Il s’agit d’une tente cubique d’une soixantaine de centimètres de côté, dotée d’un éclairage interne, où l’on place les objets à photographier. On en trouve pour une cinquantaine d’euros, mais pourquoi acheter quand on peut le fabriquer ?

Le cahier des charges

  • Démontable
  • Faible coût
  • Taille suffisante pour mes besoins
  • Éclairage à leds
  • 65 cm de largee, pour 50 de profondeur et 50 de hauteur

Je souhaite également pouvoir l’utiliser sur mon bureau malgré tout le bazar qui peut s’y trouver.

Il me reste un beau stock de plaques de dépron de six millimètres d’épaisseur. C’est un matériau léger et flexible mais résistant. Ce sera donc une caisse faite de panneaux de dépron dont le socle sera collé au pistolet et dont les panneaux seront maintenus par encastrement.

Un prototype …

La taille envisagée est assez énorme, et même démonté, l’objet prendra une place non négligeable, sans compter que les leds dont je dispose ne sont pas d’une puissante très élevée.

Un prototype plus raisonnable s’impose. Je conviens avec moi-même qu’un cube de vingt-cinq centimètres de côté fera un bon début.

L’assemblage

Rien de bien compliqué, les panneaux sont simplement découpés à l’aide d’un cutter bien affuté, et assemblés au pistolet à colle chaude. La colle chaude a cette particularité de faire fonde légèrement le dépron, et de conserver un peu de souplesse.

Deux échancrures sur l’avant des flancs permettent d’élargir un peu l’angle pour les prises de vues. Les parties retirées sont remise en place sur une charnière faite au scotch. Enfin, le dessus de la caisse est ouvert pour des prises de vues à la verticale, et là aussi, l’ouverture peut être occultée.

Une feuille de papier blanc posée sur le fond et appuyée sur le panneau arrière masque en partie le sale travail la jonction des panneaux. Il s’agit pour le moment de papier A4, mais je referai cette partie là plus tard.

L’éclairage

Je comptais réutiliser mon contrôleur de LEDs RGB, mais je n’arrive pas à remettre la main dessus. J’en suis presque venu à crois qu’il s’est carapaté en compagnie de mon SSD.

Je me suis donc tourné vers les lampes à LEDs de mon vélo. Ils y sont fixés sur des colliers en caoutchouc, mais je dispose également de supports à coller. Le dépron n’est pas assez lisse pour l’adhésif des supports, mais du Velcro adhère très bien et sur le dépron, et sur les supports.

Quelques tests

Éclairage naturel en cuisine, la photo est lisible, sans plus, sans oublier l’ombre du verre.
C’est quand-même un peu plus clair.
Photo prise à la verticale. Il reste des ombres, malgré le double éclairage

Quelques améliorations

Le résultat est correct, même si un amateur éclairé trouvera matière à critique.

Tout d’abord, les ombres. Les LEDs sont fixées en haut des flancs de la boîte. J’aurais plutôt dû les placer au plafond. C’est à tester, mais je n’ai plus de velcro en stock. Je testerai également un éclairage à base de ruban de leds RGB, mais je dois retrouver mon contrôleur ou en assembler un autre.

L’habillage intérieur ensuite. Pour le moment il s’agit d’une simple feuille de papier A4 pour imprimante. Une feuille au format A3 retaillée conviendrait mieux.

La taille, enfin. Ca compte, paraît-il, et là c’est bien le cas. La boîte est un presque trop étriquée. Un cube de quarante ou soixante centimètres de côté serait plus pratique, mais là, il me faudrait passer à un éclairage à leds blanches. Je vais faire avec pour le moment.

Ce prototype n’est pas optimum, mais il est utilisable, et comme on dit, « C’est moi qui l’ai fait ! ».

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Un support pour mon téléphone

17 septembre 2019 2 commentaires

J’ai mon smartphone actuel depuis… 2015 si j’ai bonne mémoire. Je lui ai très vite acheté une très bonne coque de protection. Le gros point noir de cette coque est son épaisseur d’environ quinze millimètres, mais elle a à plusieurs reprises montré son efficacité.

Presque quatre ans plus tard, la batterie a commencé à montrer des signes de faiblesse : arrêts intempestifs du smartphone avec ou sans effet « Canal Plus », mais surtout échauffement excessif lors de l’utilisation et des recharges.

Une nouvelle batterie de même capacité – 3200 mAh – est maintenant en place. Fin de l’épisode, mais pas de ce billet.

Un petit problème…

Je n’ai toujours pas réinstallé la coque, et je trouve ce téléphone plus agréable à utiliser. Léger, assez fin, et somme toute résistant aux choc courants. La coque en question est en matériel plastique rigide, mais non glissant. Ainsi, pour regarder une vidéo en mode paysage, il me suffisait de poser le téléphone calé contre un mug, une mini enceinte, une souris… Sans cette protection, j’ai beau faire, le téléphone glisse et se retrouve à plat.

… et une petite solution

J’aurais pu acheter un support du commerce, ou en imprimer un à partir des nombreux modèles disponibles sur les sites spécialisés, mais j’ai préféré une solution maison.

Il me restait un tube de ces tuiles salées à base d’huile et, espérons-le, de pommes de terre. Les tuiles ont disparu depuis longtemps, et le tube s’ennuyait ferme dans mon stock.

Quelques traits de crayon, doublés de coups de cutter, un peu de « mitraille » annexe et c’est prêt.

Quelques photos

Vue de côté. Un dossier sur l’arrière, et un « bec » sur l’avant.
Les coupes ne sont pas encore nettes, et quelques coups de ciseaux sont encore nécessaires.
La pièce métallique posée au fond alourdit et donne un peu plus de stabilité.
Le fond métallique du tube glisse encore plus que le téléphone lui-même. Aussi quatre patins ont été collés sur la face inférieure du support.
Le téléphone tient bien en place sur son nouveau support.
J’aurais pu arrondir les coupes ; ce sera un exercice pour la prochaine version.
Non, l’univers ne s’est pas subitement courbé. Cette photo a été prise avec la caméra habituellement installée à demeure sur mon vélo.
Le petit « bec » sur l’avant du support ne gène pas la vue.

Quelques améliorations possibles

L’esthétique, pour commencer. Le support a été tracé « à la hache ». C’est avant tout un prototype, même si je compte l’utiliser tant qu’il tiendra. Le dossier du prochain modèle sera coupé pour que le dos du téléphone s’y appuie entièrement. Une décoration de l’extérieur ne serait pas de trop, mais j’aime assez l’aspect « brut de fonderie ».

La ventilation ensuite. Des ouvertures pratiquées sur le dossier permettraient une ventilation passive du téléphone, utile par exemple lors des recharges de la batterie. Un petit ventilateur alimenté en cinq volts pourrait être ajouté si cela ne suffisait pas.

En attendant, ce support remplit son office, et c’est tout ce qui compte.

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Une relique : un Vernier au dixième

5 février 2019 Laisser un commentaire

Un pied à coulisse numérique est chose courante depuis des années maintenant. Alimenté par une pile trois volts, il permet d’effectuer des mesures précises au dixième, voire pour certains au vingtième de millimètre près. Le mien affiche les mesures au choix en millimètres ou en pouces.

Le problème avec ce type d’instruments numériques, semble-t-il, est que la pile sera forcément à changer à la prochaine utilisation. Or, la prochaine utilisation, c’est très souvent maintenant, là, tout de suite, et on est « joint ». Heureusement, même sur un pied à coulisse numérique, les graduations sont sérigraphiées sur le réglet, également en unités métriques et impériales. La précision descend alors en demi millimètres ou en quart de dixième de pouce, avec une bonne vue. En passant, je pensais qu’un pouce était subdivisé en huit sous-unités, mais ici, j’ai vérifié, c’est bien dix. A vérifier, donc.

J’ai appris il y a … fort longtemps à utiliser un pied à coulisse à Vernier au dixième. Aussi, lorsque j’en ai trouvé un simplement suspendu par un clou sur un mur, j’ai décidé de lui offrir une seconde chance. J’aurais tout aussi bien pu en acheter un neuf pour quinze à cinquante euros suivant la qualité, mais pourquoi acheter quand on peut réutiliser ?

L’engin

Totalement analogique, sans pile, ce pied à coulisse à Vernier apporte une précision d’un dixième de millimètre. En acier inoxydable, il est assez massif, mais pas beaucoup plus que son homologue « moderne ». On peut dire que c’est du costaud, malgré tout ce qu’il a pu subir. Il est gradué en unités métriques uniquement, mais bon, les inches ne m’ont pour lors jamais servi, et par ailleurs, un pouce, c’est ce qui sert d’appui quand on joue de la basse.

Etat du bousin et nettoyage

C’était sensé être de l’acier inoxydable, mais il y avait (et il y a encore) tout de même quelques traces de rouille, en plus des autres saletés. Le curseur bloquait à environ deux centimètres, la vis de blocage et les deux vis de réglage étaient grippées.

Après une bonne dose de dégrippant, je suis tout de même parvenu à desserrer les vis et à libérer le curseur du réglet. Les vis de réglage n’ont pas daigné sortir de leurs puits, mais comme elles ne bloquaient plus, j’ai décidé de leur donner raison.

Le réglet et le curseur après désassemblage. A noter la crasse à l’intérieur du curseur.

Gros plan sur le réglet.

Le curseur est bien abîmé, mais les surfaces de contact avec le réglet sont plus que correctes une fois toute la crasse retirée.

Après un second nettoyage au dégrippant puis à l’alcool, il restait encore pas mal de taches et un peu de rouille. Je n’ai pas insisté par crainte d’effacer la sérigraphie. C’est un vieil outil, alors autant lui laisser son air de vieil outil. Après avoir appliqué une fine couche d’huile fine essuyée au chiffon, le remontage s’est fait sans problème.

Une fois les vis de réglage ajustées, le jeu est minime. Par contre, il reste un blocage vers la moitié du réglet que je ne parviens pas à supprimer sans créer du jeu et donc de l’imprécision dans les mesures.

Les jauges de profondeur : version Vernier en haut, version numérique en bas

Après remontage : version Vernier à gauche, numérique à droite

Au final

J’utilise très peu la version numérique. Je la réserve pour ce que mon vernier ne peut pas faire : mesures du diamètre d’un alésage de moins d’un centimètre et mesure de profondeur. Pour le reste, même s’il a l’air de ce qu’il est – un très vieil outil « dans son jus » – le vernier suffit amplement pour peu que l’éclairage soit suffisant. C’est le plus important, non ?

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In vino Veritas, matériel de base pour l’électronique

13 novembre 2018 2 commentaires

« In vino veritas » est le nom que j’ai donné à la caisse de rangement pour mon matériel de soudure.

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Y prend place tout ce dont j’ai besoin pour effectuer des soudures électroniques de qualité suffisante quand je travaille sur mes arduinos et autres pitreries.

Un petit avertissement avant de commencer. Je ne suis pas professionnel de l’électronique. Je bidouille un peu, c’est tout, et mes méthodes, mon outillage ne conviendront pas à tous. Ce que je présente ici n’est qu’un début de boîte à outils pour amateur débutant.

Fer à souder

Il s’agit d’un fer à souder avec contrôle de température. La pointe est amovible, en prévision de son remplacement, et au cas où le crayon tout entier devrait être remplacé, il est connecté au boîtier par une prise vissée.

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La pointe fournie avec ce fer n’a pas duré très longtemps. En cause mon apprentissage (trop chauffé, étamage « quand on a le temps »), et peut-être la qualité un peu limite du produit. La pointe actuelle tient le coup (j’ai appris de mes erreurs et mauvaises pratiques). Je l’ai achetée dans un lot de quatre.

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Eponge

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J’utilise une éponge de type « vaisselle » pour un nettoyage en douceur, et pour faire baisser la température de quelques degrés. Mon fer est sensé contrôler la température, mais il arrive qu’elle prenne dix ou quinze degrés sans prévenir. Un petit coup d’éponge, et tout rentre dans l’ordre. L’éponge doit rester bien humide, et je la pose dans un ravier contenant une moitié d’eau. Entre deux séances, l’eau est vidée, et l’éponge laissée à sécher.

Eponge métal

Il s’agit d’une simple éponge métallique placée dans un verre à shoot. Elle sert à retirer de la pointe son trop-plein d’étain.

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Consommables

Rien de très original. De haut en bas et de gauche à droite :

  • Tip Tinner pour étamer la pointe du fer après usage
  • Tresse à dessouder de deux ou trois millimètre
  • Etain « électricien » de 2mm , pour étamer des fils de grosse section (modélisme etc)
  • Etain de 0,5 mm, pour souder les composants sur leurs pistes.

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Pinces

Mes pinces passent plus de temps sur mon tableau que dans la caisse avec le fer à souder, mais elles l’y rejoignent si je dois emmener mon matériel hors de chez-moi.

On peut se débrouiller avec des pinces d’électricien, mais il vaut mieux investir quelques euros dans du matériel adapté. Ma seule exception est ma pince à dénuder, car son réglage par vis de blocage est suffisamment précis.

  • Pince coupante
  • Pince à bec fin
  • Pince à dénuder

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Testeur de continuité

C’est un bricolage perso assez immonde, mais que j’utilise de préférence à un multimètre. Il s’agit simplement d’une led et sa résistance alimentées par une pile neuf volts. Les deux contacts (pins HE10 de 15 mm de long) mis en contact avec deux points d’un circuit permettent de s’assurer de la continuité d’une piste, ou de la bonne isolation des deux points.

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Testeur d’alimentation

Un autre bricolage perso prévu pour moins de douze volts et très peu de courant. Je l’utilise avant d’insérer les composants « sensibles » (micro contrôleurs, 555, etc) pour vérifier que leur alimentation est correcte en posant la led au contact d’une piste sensée être alimentée et l’autre pin au contact d’une masse.

Si la led ne s’allume pas, alors il faut vérifier son travail.

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Zombie et Johnny Five

Il s’agit de « troisièmes mains ». Zombie, à gauche,comporte deux pinces très utiles pour maintenir un circuit en cours d’assemblage, ou deux fils à rabouter. Johnny Five, à droite, comporte un plus une loupe de diamètre 90, pour les cas demandant une bonne précision.

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Ce qu’il manque

J’ai là de quoi travailler sur tous mes projets en cours et à venir, mais il manque quelques équipements :

  • Un éclairage correct
  • Un filtre à fumée

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